Il n’est pas succinct de constater un seul instant, et serait-ce même une perte de temps, que le pavillon du soubassophone de par son envergure offre le reflet de la fanfare dans son entièreté, 47 membres assidus costumés de rouge et pas un de plus, mais ce jour-là malgré l’usure de la patine et la violence d’un temps couvert, il était précisément remarquable que le piccolo faisait semblant de jouer !... le petit truc rouge sous le machin blanc, c'est lui !
où sont mes bésicles...je remets à plat et enfin apparaît le petit truc rouge...
RépondreSupprimerfaut s'appliquer... mais même vu, ça ne le pardonne pas !
SupprimerLe piccolo a encore picoler...du rouge... !
RépondreSupprimerC'est pour ça, j'ai compris !
SupprimerIl fut un temps, court je le confesse, où je servis sous les armes. Mon arme était l'hélicon, un cousin du soubassophone. Une arme de destruction massive quand on sait s'en servir ou plutôt quand on ne sait pas, devrais je dire. Un coup à vous rendre sourd définitivement.
RépondreSupprimerJ'étais donc hussard de seconde classe affecté à ce noble instrument et, même si je n'aime pas dénoncer mes petits camarades, je confirme que le piccolo était un savant simulateur, comme tous les italiens bien enetendu. D'ailleurs il s'appelait Pipo Inzaggi et jouait à la Fiorantina. Oh , pas a un poste extraordinaire, il était triangle dans la fanfare des tiffosi du virage nord.
CdD
les italiens sont simulateurs... mais à quel point ???? Tu vas bien mon anonyme qui signe !
SupprimerUn piccolo qui fait semblant de jouer alors là ..c'est un vrai mystère !!
RépondreSupprimeron sent le musicien !...
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