À une oubliée époque, où les légendes faisaient foi et fi des sceptiques ignorants et asséchés de toute songerie, telle la source truffée d'éponges, le biclou de campagne poussait dans les troncs.
Ce fût ainsi, il ne faut pas m’en enquérir du comment, je n’en connais point davantage!
Quoi qu’il en fût, le villageois Robert, bas du cul, aux membres de soubassement trapus, goitreux d’une musculature en pavé de terre cuite aussi raffermie qu’un heurt sur l’ogive, contractée sur les raccourcis vicinaux pour haler pitance à sa progéniture, se vit assujetti, un bel poltron minet, par le discernement d’un champignon remarquable. Le biclou de campagne, s’acheminait royal, en ces contrées anciennes, comme un apparat aux moultes avantages.
Mais le villageois Robert n’en eut cure ! Point encore ! Seul l’étonnement lui tiraillait la cervelle…
-Vois-tu moi là, la bestiasse ! S’époumona le villageois Robert en tâtant, suintant de bave, la pousse à tout au plus un empan réduit de son front velu en rebord de cuvette… S'il est pas bel !... Son extase s’éternisait… S'il est pas bel !... et pléthore autres criailleries qui demeurèrent en quelques ornières du temps…
Que né ni !
RépondreSupprimersi le monsieur du 81 n'avait pas oublié de remonter les freins !!!!!