jeudi 26 novembre 2015

INDIC.


Il n’est pas succinct de constater un seul instant, et serait-ce même une perte de temps, que le pavillon du soubassophone de par son envergure offre le reflet de la fanfare dans son entièreté, 47 membres assidus costumés de rouge et pas un de plus, mais ce jour-là malgré l’usure de la patine et la violence d’un temps couvert, il était précisément remarquable que le piccolo faisait semblant de jouer !... le petit truc rouge sous le machin blanc, c'est lui !

8 commentaires:

  1. où sont mes bésicles...je remets à plat et enfin apparaît le petit truc rouge...

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    1. faut s'appliquer... mais même vu, ça ne le pardonne pas !

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  2. Il fut un temps, court je le confesse, où je servis sous les armes. Mon arme était l'hélicon, un cousin du soubassophone. Une arme de destruction massive quand on sait s'en servir ou plutôt quand on ne sait pas, devrais je dire. Un coup à vous rendre sourd définitivement.

    J'étais donc hussard de seconde classe affecté à ce noble instrument et, même si je n'aime pas dénoncer mes petits camarades, je confirme que le piccolo était un savant simulateur, comme tous les italiens bien enetendu. D'ailleurs il s'appelait Pipo Inzaggi et jouait à la Fiorantina. Oh , pas a un poste extraordinaire, il était triangle dans la fanfare des tiffosi du virage nord.

    CdD

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    1. les italiens sont simulateurs... mais à quel point ???? Tu vas bien mon anonyme qui signe !

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  3. Un piccolo qui fait semblant de jouer alors là ..c'est un vrai mystère !!

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