mardi 5 avril 2016

TROP TARD



Elle est si légère qu'elle se soulève suspendue au souffle d'un pissenlit qui se souffle en morceaux d'un souffle dans l'air... et là-haut arrivée tout en haut quand le souffle essoufflé n'a plus l'air de rien, d'une tige déplumée, soufflée d'un revers de main... elle regrette de ne pas être à terre posée sur un parterre de pissenlits dorés...


3 commentaires:

  1. Azur-amant...pour s'envoyer en l'air...il faut avoir le coeur bien accroché... et ne pas souffrir de vert-tige!

    J'attendais impatiemment ton retour!!!

    RépondreSupprimer
  2. La Rousse file dans le vent semant ses akènes !

    RépondreSupprimer
  3. je ne m'attendais pas à cette chute

    CdD

    RépondreSupprimer