- Regarde les chaussures de Robert… Sa femme est partie. Ça se voit à la poussière, quand il y a de la poussière, c’est que la
femme est partie, et là... il y a beaucoup de poussière… Et Depuis que sa femme est partie, Robert est malheureux ! Ça se voit aux nœuds, il a les nœuds malheureux… Et quand sa femme est partie, Robert a cessé de se raser. Ça se voit à ses chevilles… il a les chevilles...
- Nues...?
- On peut le dire...
- Et parce que sa femme est partie, Robert ne fait plus rien, plus rien du tout ! Ça se voit à ses pieds, ils sont côte à côte complètement inertes, c’est signe d’une grande immobilité. Et je peux aussi dire que sa femme est partie sans ses chaussures... parce que c’est Robert qui les porte…
- Et parce que sa femme est partie, Robert ne fait plus rien, plus rien du tout ! Ça se voit à ses pieds, ils sont côte à côte complètement inertes, c’est signe d’une grande immobilité. Et je peux aussi dire que sa femme est partie sans ses chaussures... parce que c’est Robert qui les porte…
élémentaire, mon cher Watson ! elle avait quand même de grands pieds , la femme à Robert
RépondreSupprimer...Et elle les a toujours! Ce n'est pas le genre de chose dont on se défait facilement...
Supprimermais non c'est Berthe qui a de grands pieds,
RépondreSupprimerc'est écrit ceux là sont à Robert !!!!!!